Rhonin edit : Malias

Citation :: Nom : Rhonin

Race : Homme

Âge : 24

Classe : Guerrier

Métier : Aventurier ( chevalier banni )

Équipement :
Une épée a deux mains
Une dague
Une petite hache a lancer
La bague de son roi
Une armure de cuir et une cotte de mailles

Description physique et psychologique : Il mesure cinq pieds et sept pouces, pèse cent quarante livres, donc il n'est pas si grand et de grosseur moyenne. Il a les cheveux courts et bruns, ses yeux sont du vert tendre de la foret, mais si on les regarde bien on peut y distinguer un brin de folie.
Certains le diront fou, car son passé n’est certainement pas banal, et ils ont certainement raison! Mesquin, fourbe, rusé, lâche, sournois et sadique, même, sont des mots qui peuvent le décrire, mais il cache très habillement son jeu, c’est un jeune homme a l’apparence noble, courageux, vaillent et serviable que la plupart des gens croit voir en croisant son chemin, ne se doutant point que derrière ce masque se cache un brigand. Un assassin!

Histoire : Personne ne connaît les origines de Rhonin, peut-être que lui-même les ignore, mais chose certaine il ne vous en dira rien, peut-être inventera-t-il une histoire a dormir debout qui grâce a son charme et son talent de conteur vous semblera la plus plausible qui soit ou peut-être bien qu’il vous la dira, mais vous assassinera de sang froid avant que vous ne puissiez colporter!
Pendant son enfance et son adolescence, on disait de lui qu’il maniait les armes comme personne, et on le prédisait à un grand avenir, « On se souviendra longtemps de lui, disait tous ceux qui le connaissait. », et il ne perdit point ses talents en vieillissant. Rhonin était devenu chevalier dans le pays dirigé par le grand et bon roi Yvan neuvième du nom, il était entré en service a ses dix-sept ans et il se retrouva, à l’age de vingt ans, promu au grade de chevalier personnel du roi. Pendant deux ans Rhonin servit le roi avec le courage, la loyauté et la noblesse légendaire des chevaliers, mais pendant deux ans Rhonin mit au point un plan mémorable. Un soir, Rhonin entra dans la chambre du roi et, avec le poignard qu’il avait volé au fils d’Yvan, il assassina son souverain! Le lendemain on condamna a mort l’héritier royal en croyant qu’il avait voulu monter sur le trône. N’ayant plus de roi, le peuple voulut faire monter Rhonin sur le trône, comme il l’avait prévu. Mais tout ce compliqua lorsqu’il alla rejoindre les autres chevaliers pour discuter de la procédure, car dès qu’il entra dans la pièce les autres reconnurent la bague qu’il portait au doigt, la bague qu’il avait volé la nuit du meurtre, la bague que personne n’avait retrouvé! Une bagarre éclata, après avoir tué cinq adversaires, Rhonin, voyant qu’il n’avait plus aucune chance, prit la fuite!
Pendant presque deux ans il prit la tête d’un groupe de tyrans et brûla des villages entiers dans ce qui aurait du être SON royaume. Mais une fois de plus, ses anciens frères d’armes le retrouvèrent, il sortit seul survivant de cet affront et décida de partir définitivement de ce pays qui aurait du être sien...

Je n'aimais pas vraiment mon personnage, j'ai changer son nom et j'ai ajouter quelques details...

Nom : Malias
Surnom : le Roi Damné
Race : Homme
Âge : 29 ans
Classe : Guerrier

Métier : Mercenaire (chevalier banni)

Équipement :
Une épée a deux mains
Une dague
Une bague aux armureries royales
Une armure de cuir noir et une cotte de mailles

Description physique et psychologique : Il mesure cinq pieds et neuf pouces et pèse environ 150 livres. Ses cheveux sont courts et bruns, ses yeux sont du vert tendre de la foret, mais des yeux qui brillent d’une étrange lueur, ils brillent d’une intelligence hors du commun, une intelligence qu’on qualifierait de démoniaque…
Certains le diront fou, car son passé n’est certainement pas banal, et peut-être ont-ils raison! Mesquin, fourbe, rusé, lâche, sournois et sadique, même, sont des mots qui décrive sa nature, mais il cache habillement son visage derrière le masque d’un jeune homme a l’apparence noble et courageuse. C’est un homme vaillant et serviable que les gens croient voir en croisant son chemin, ne se doutant point que derrière ce masque se cache un brigand. Un assassin!

Histoire : Personne ne connaît les véritables origines de Malias, peut-être que lui-même les ignore, mais chose certaine il ne vous en dira rien, peut-être inventera-t-il une histoire a dormir debout qui grâce a son charme et son talent de conteur vous semblera la plus plausible qui soit ou peut-être bien qu’il vous les dira, mais vous assassinera de sang froid avant que vous ne puissiez colporter!

On raconte qu’il fut élevé par des prêtres, dans un temple, à la campagne près de la capitale d’Emeldir, Jalaik’him. Un homme serait venu le porter, il leur aurait dit que sa vie était en danger et qu’il ne pouvait plus s’occuper de lui. Les prêtres l’auraient par la suite pris sous leurs ailles, le prénommant Malias. L’orphelin y apprit nombre de choses, comme le combat a l’épée, ainsi que la maîtrise de la plupart des armes, mais aussi beaucoup de choses concernant les peuples de ce monde et leurs coutumes. Les prêtres voulaient en faire quelqu’un d’équilibré, a la fois un expert du combat et un érudit. Mais malheureusement, leur enseignement fut de courte durée.

On dit que s’était lors d’une chaude nuit, une des plus chaudes de cette année-là. Malias n’avait alors que quinze ans mais déjà ses compétences au combat surpassaient grandement celles de ses maîtres. Il avait de la difficulté à s’endormir à cause de la chaleur et des ronflements du frère Gaspard, son voisin de chambre. Cette nuit-là, un gigantesque incendie ravagea la campagne, un véritable brasier qui brûla tout sur son passage… L’écurie disparut avec des hennissements d’horreur, tandis que le feu se propageait déjà jusqu’au temple, tous y moururent. Tous sauf Malias qui avait pu se jeter par la fenêtre de sa chambre. Après cette triste nuit, il marcha jusqu'à la ville de Jalaik’him ou il entra dans l’école militaire, pour apronfondir sa connaissance dans l'art du combat.

Pendant son séjour a Jalaik’him, on disait de Malias qu’il maniait les armes comme personne, et on le prédisait à un grand avenir, « On se souviendra longtemps de lui, » disaient ceux qui le connaissaient, mais on ne se doutait point à quel point nous nous souviendrions de lui. À dix-sept ans, il devenu chevalier dans le pays d’Emeldir dirigé a l’époque par le grand et bon roi Oloren troisième du nom. Ces chevaliers que l’on nommait les Gardes d’Hemzar, en hommage au premier roi de ce pays, étaient considérés comme de véritables héros en Emeldir! Il se retrouva même, à l’age de vingt et un ans, promu au grade de chevalier personnel du roi. Pendant deux ans, Malias servit le roi avec le courage, la loyauté et la noblesse légendaire des chevaliers, mais pendant deux ans Malias mit au point un plan mémorable.

Un soir, Malias entra dans la chambre du roi et, avec le poignard qu’il avait volé au fils d’Oloren, il assassina son souverain, et pris soin de jeter le couteau souillé de sang dans un endroit ou un serviteur ne tarda pas à le retrouver. Le lendemain, on condamna a mort l’héritier royal, croyant qu’il avait voulu monter sur le trône plus tôt.
N’ayant plus de roi, le peuple voulut faire monter sur le trône d’Emeldir la seule personne en qui le peuple et feu le roi avait véritablement confiance, un homme qui maîtrisait l’épée comme les héros d’antan, quelqu’un de bon et charitable, quelqu’un comme Malias!
À cette heure, tous se déroulaient comme il l’avait prévu, sinon mieux…
Mais tout se compliqua lorsqu’il alla rejoindre les autres chevaliers et les membres du conseil d’Emeldir pour discuter de la procédure à suivre pour le jour de son couronnement… Tout se déroulait a merveille, jusqu’a ce qu’Haurin, un de ses confrères, le questionna sur son alibi. N’ayant pas prévu cela, Malias resta bouche bée et fini par répondre qu’il était à la taverne « au grand héron », cet à cet instant précis qu’il se rappela avoir dit la veille, devant la même assemblée, être partit a une partit de chasse en foret… Pour la première fois depuis son arrivée a Jalaik’him, quelqu’un avait déjoué son plan, pour la première fois depuis plus d’une décennie, ça n’allait plus comme il l’avait voulu.

Les chevaliers, sortants peu a peu de leur ébahissement et comprenant qu’il était le véritable responsable de la mort de leur suzerain, dégainèrent leurs armes et voulurent faire châtier Malias pour sin horrible crime. Mais, malheureusement pour eux, le traître était déjà sortit par un passage que lui avait montré le roi quatre mois auparavant…

Pendant plus d’un an, il prit la tête d’une bande de mercenaires, des brutes sanguinaires qui avaient perdu leur capitaine, des barbares à l’état brute. Ils brûlaient et pillaient tous sur leur passage, dans ce qui aurait du être son royaume! Les massacres se succédaient et se ressemblaient, les brigands tuaient hommes, enfants, vieux et malades, ils violaient les femmes et les tuaient à leur tour, ils prenaient toutes les richesses qu’ils pouvaient emmener avant de brûler le village. Mais une fois le solstice d’hiver passé, les Gardes d’Hemzar le retrouvèrent.
Ce fut une bataille sanglante, une bataille dont la plaine parle encore.
Le sang coulait à flot et le vacarme du croisement des épées résonnait jusqu’aux villages non loin. Jamais Malias ne s’était battu ainsi, jamais non plus il aurait cru se battre contre les chevaliers d’Emeldir, mais pourtant il se battait contre eux, contre ceux qui avaient été, jadis, ses frères d’armes.
Ce fut une bataille inégale, une bataille que les mercenaires n’espérait même plus gagner.
Pour un homme de Malias il y avait trois chevaliers, et plusieurs d’entres eux battaient en retraite sous les assauts de ces défenseurs de la justice. Malgré cela, le Roi Damné d’Emeldir se battait encore et encore…
Ce fut une bataille étonnante, ce fut une victoire éclatante.
Lorsque Malias releva les yeux, il était seul. Il avait combattu comme jamais auparavant et ça avait porté fruits. Il s’était battu comme un fauve, il avait triomphé en roi et à le voir ainsi, debout dans la tempête au milieu de tous ces cadavres, couvert de neige et de sang, on aurait dit un dieu!
Mais, il n’était rien de cela. Il n’était plus rien. Il n’avait même jamais rien été. Une illusion, un rêve et maintenant il serait un souvenir, rien de plus.
Il attendit la nuit, il prit quelques cadavres et il les jeta dans le puit d’un village. Il se dit qu’avec un peu de chance, la peste envahirait l’Emeldir…
Après son dernier méfait, il partit en quêtes de territoires inconnus. Il se retourna qu’une seule fois, j’étais la, comme à mon habitude, perché sur la maigre branche d’un arbre, lissant mes plumes d’un brun terne et triste. J’étais là, seul et unique témoin de sa tristesse, seul et unique témoin des larmes qui perlaient sur son visage.